pour ceux qui ont envie...

Trop mélangeant ^^"

Et si je commençais, une petite improviser rapide:

Je sens le sang couler
le long de mon pelage tigré
Je sens la douleur
Me transpercer et m'anéantir
Seul dans le noir
Abandonner par l'espoir
Je pense a toi
Toi qui n'es plus ici
Ton parfum me suis
Et me guidera vers toi
Je baisse la tête
Mon coeur se serre
Mes yeux se ferment
Laissant couler un larme
Une Larme de Sang
En pensant a toi

Il est écrit par Moustache ^^"

J'adoore ^_^

Ton sourire
(Un poème que j'ai fait pour mon petit ami, décédé dans l'accident qui m'a coûté mes jambes.)
Ce serait beau si nous pouvions jeter
Tout sauf ce qui compte vraiment
Mais la réalité est cruelle simplement.
À de tels moments
Je te vois aux éclats riants.
La mort nous a séparés,
Avec toi j’ai été comblée,
Grâce à toi je pourrais mourir en paix,
Le jour où le sommeil éternel j’atteindrais.
En attendant ce jour-là,
Chaque fois que les yeux je fermerais
Ton visage souriant devra,
Sans faillir rester avec moi.

Le rêve
(Poème fait à ma soeur pour lui dire qu'elle pouvait vivre facilement même sans moi)
Tu peux maintenant sans crainte rêver,
À travers ce monde onirique aller,
Résister à la tristesse de la réalité,
Dans ton coeur, un héros attend d'émerger.
Les souvenir des rêves qui me sont venus hier soir,
Me remplit de désepoir,
Comme tu peux le voir.
De ta coquille tu dois sortir,
Faire face à un avenir,
Qui se ferme sur toi irrésistiblement.
Tu peux sans crainte rêver maintenant
Essayer tu dois,
Ou une angoisse sans fin te prendra
Te hanteras à n’en jamais finir
Tu pleures seul, peux-tu le sentir ?
Mes larmes j'ai versé,
Montre-moi contre quoi lutter.
De tes craintes tu te détourneras,
Et dans mon rêve tu entreras.

Le Diamant d'or acéré
(Encore pour ma soeur)
Je ne peux plus te voir
Au cœur de cette forêt noire
Mais je peux toujours avancer,
Mon chemin chercher.
Quand je ressents quelque chose de fort
À cause de ma raison semblable à un diamant d’or
Ma véritable nature je ne peux m’empêcher de cacher
Je reste faible à cause de cette lâchetée,
Le diamant d’or acéré,
Derrière mes sentiments s’est camouflé.
Dans cette ville où tu n’es pas
Il est trop triste d’être seule là.
Jusqu’où devrais-je marcher,
Pour te retrouver ?
Même le diamant d’or acéré
Ce lien qui nous unit ne pourrait trancher.
Même le diamant d’or acéré,
Me pousse à continuer.
Pourrais-je alors te chercher,
Sans avoir à m’inquièter ?
Les échos de mes pleurs au soir
Sonnent vides à l’intérieur de la forêt noire.
La raison pour laquelle je ne cesse de pleurer
C’est la chaleur de nos doigts qui se sont entrelacés.
Le diamant acéré
M’aide soudain à m’en rappeler :
Un futur sans toi,
Ne signifie rien pour moi.
Par le diamant d’or acéré,
Je me sens vers toi poussée.
Nos doigts s’entrelaçent une nouvelle fois,
Le destin ne m’ignore donc pas ?
Ensemble nous partirons
Le monde que nous souhaitons
Est un monde que jamais vu nous n’avons
Au loin nous voyagerons
Nous serons toujours guidés,
Par la lumière d’or du diamant acéré.

A quel prix ?
(Poème réalisé quand je commençais à me secouer à nouveau.)
Je n’arrivais pas à me concentrer,
Mon corps encore hésitait,
Et si je me mets à trembler,
Tout contrôle je perdrais.
Le soleil et la chance m’ont complètement abandonné,
Mais je me dis tout bas :
« Je dois le faire, pas le choix ».
La situation se présente mal mais fuir serait signe de lâcheté,
Je n’ai aucune issue alors autant y aller à l’audace,
En retenant mon élan je dois me rapprocher de ma cible fugace,
M’est nécessaire seule la fierté de gagner.
À l’ivresse de la victoire vais-je goûter,
Ou de l’amertume de la défaite vais-je m’approcher ?
Seul un,
De ces deux fils liés à mon destin,
De ma main,
Saisis le moment doré opportun.
Avec mon meilleur bluff je dois attaquer,
Mon ennemi dans un monde d’illusion je dois attirer.
Franchir ce monde de pression sans limites avec fluidité,
Pour la glorieuse frontière en dépasser.
À quel prix ? À quel prix peut-on passer ?
À quel prix refuses-tu de payer ?

Le péché
(Poèmes que j'ai fait pour m'excuser auprès de tout ceux à qui j'ai fait un sang d'encre)
Il me reste trop longtemps à vivre je crois,
Pour ignorer ces émotions n’est-ce pas ?
Je veux tenter de terminer
Ce que j’ai laissé inachevé.
Je pensais poursuivre un but par mes rêves fixé,
Mais nombreux sont ceux qui m’empêchent d’avancer.
Revenir en arrière je ne veux pas,
Je veux juste atteindre les cieux qui s’éloignent déjà,
J’espère que tu comprendras.
Cet air de victime ne prend pas,
Les larmes n’effaçent pas le péché ;
On se repend pour l’éternité.
Qui dois-je attendre dans ce labyrinthe sans issue ?
Qu’on est vivants je veux crier
Pour mes rêves réaliser,
M’entends-tu ?
Comme on noircit une page vierge il faut que j’expie cette totalité
Ce que je fuis, est-ce la réalité ?
Désormais,
Le tout pour le tout je jouerais,
Je n’ai nulle part où aller mais je ne suis jamais ingrat,
Je deviendrais aussi fort qu’il le faudra,
Faisant mienne la douleur qui ce que j’ai perdu me rappellera.

wOw
C'est vraiment beau ^_^
Faudrait que j'apprenne à écrire =D

Tu es ma conscience,
Ma sentence.
Ma vie
Mes envies.
Mon amour
De toujours.
Mon regard
Mon espoir
Mon cœur,
Mon bonheur.
Ma joie
mes effrois.
Tu es l'aube de mon crépuscule,
Ma laine qui me sert à fabriquer mon pull.
Tu comme une Danse,
C'est à toi que je pense.
Le jour ne se lèvera plus sur toi.
Et tu ne sera plus jamais là.
Je ne t'oublierais jamais!
C'est dans mon cœur que tu es.

Un poème plus joyeux sur mon poney

Moi je crois que c'est celui pour ton amie ^^
Mais tout tes poèmes sont vraiment beau ^_^

Eeeuh... je peux pas croire que j'ai jamais vu ce topic -_-"

Tes poèmes sont vraiment beaux Étoile Tachetée!
Toi aussi Danse de la Lune!

Bon j'en mettrai à mon tour eeuh... à moment donné ^^"

J'adore tes poèmes, Danse de la Lune !
Je crois que celui que je préfère doit être celui sur la forêt.
Mais bon, faut dire que la forêt, c'est mon péché mignon^^ je peux y passer toute une journée.

La lune

Telle une lueur d'espoir
Dans cette nuit si noire
Telle une pépite d'or
Qui nous berce et nous endors,
La lune,
Évanouie notre haine et notre rancune.
Des homme de préhistoriques dans leur caverne
En passant par le célèbre Jules Verne,
En arrivant à nous, hommes sans cœurs,
La lune remplit nos vie de couleur,
Et jusqu'à la dernière heure,
La lune sera là,
A briller de mille éclat.

Yeux d'univers.

Yeux bleus,
Des yeux d'amoureux.
Yeux noirs,
Yeux sans espoir
Yeux noisette,
Yeux d'opérette
Yeux vert,
Yeux de l'envers
Yeux gris,
Yeux de l'envie,
Yeux violets,
Yeux d'anxiété.
Yeux rose,
Yeux morose.
Yeux de la terre,
Yeux de tout l'univers

Douleur ineffaçable pour une amitié

Mon corps, mon visage, ma peau …
J’étais figée
Comme de l’eau
Qu’on aurait gelée.
Menteur
Tu n’avais pas le droit
Violeur
De te jeter sur moi
Voleur
De voler mon corps, mon âme.
La douleur
Tu étais indifférent à mes supplications et mes larmes
C’est comme si tu m’avais transpercée d’une lame.
Tu m’as dis qu’il fallait que j’y passe un jour
Mais tu m’as souillée pour toujours.
Voleur
Voleur
Voleur
Violeur.
Une lettre de plus ou de moins
Quelle différence ? ça ne changeras rien.
Tu m’as volé mon passé
Et tu m’as violée.
Menacée
Détruite et forcée.
Parce que tu savais
Que de la menacer,
Que de me menacer,
Il te suffisait.
Tu savais
Que pour mes amis,
Je pourrais donner ma vie.
Tu ne m’as guère laissé le choix
C’était elle ou moi.
Tu savais que j’aurais tout donné.
Pour ma première véritable amitié
Et tu en as profité.
Tu as profité de moi,
Tu ne m’as pas laissé le choix.
Tu m’as dis que c’était ton anniversaire ce jour-là
N’aurais-tu pas pu choisir un autre cadeau que moi ?
Merveilleux cadeau que celui de mon corps, est-ce ce que pensé tu as ?
Puisque je t’étais offerte,
Trop faible pour te repousser,
Trop instable sur mes jambes pour m'échapper.
Incapable de crier,
Pour ne pas qu’on me surprenne comme ça,
Alors que tu abusais de moi.
Le plus silencieuse possible rester
Alors que tu me demandais de simuler.
Oui, de t'écouter je refusais,
Le plus silencieuse possible je restais,
Alors que de dégoût et de rage à l’intérieur de moi je hurlais.
Incapable de riposter
Sans mettre en danger
La vie
De ma meilleure amie.
Tout le monde connaît tes colères à l’institution,
Dévastatrices, puissantes en destruction.
Sachant cela, qu’est-ce qui aurait pu me prouver,
Que tu ne pouvais pas sur elle ta main lever ?
Tu aurais pû en paix me laisser
Mais non, c’était plus amusant de terrifier,
De battre et de violer,
Bien sûr.
Tu avais tout prévu, bien sûr.
Mais moi pas.
Et ça tu le savais.
Sur moi,
Tu avais tous les droits.
Après tout je t’appartenais,
Pas vrai ?
Tu ne t’es pas privé
Avec mon corps tu t’es amusé.
Tu m’as ravagée.
Mais ça aussi tu le sais.
Qu’étais-je entre tes mains, à part un simple jouet ?
Et que pouvais-je faire sinon subir ?
Je sais que dans mes yeux ma honte tu as pu lire.
Tu as peut-être réussi à mon corps dompter,
A me l’arracher,
A ta volonté le plier.
Mais mon esprit tu n’avais pas,
Mon esprit jamais tu n’auras.
Quand enfin tu m'as laissée,
Longuement j’ai pleuré,
Sous l’eau glacée.
Dans la douche oui j’ai pleuré,
Dans la tête plus qu’une idée :
De toi me débarasser.
De ton odeur, de tes marques, de toi
De cette impression que tu as laissée,
Sur moi,
En moi.
De l’intérieur c’est comme si
Tu m’avais souillée et salie.
L’eau
Jaillissait du pommeau.
Trop froide, comme ton regard sur moi
Mais je n’avais cure de ça.
Je voulais juste me débarasser de ta silhouette sur ma peau,
De ton reflet dans l'eau,
Je voulais juste me débarasser de toi.
Mon corps je frottais
Comme si ma vie en dépendait.
Et ces taches qui ne partaient pas,
Sur ma poitrine, mes cuisses, mes bras.
Le sang que je perdais
Ma peau qui rougissait,
Tandis que je me griffais,
Que je frottais.
Comme une folle se débattant,
Entre les griffes d'un monstre inexistant.
Ces marques qui sont toujours là,
Souriant, me narguant comme ça
Témoins de mon péché,
Témoins de ton péché.
L’eau de rouge se teintait,
Jusqu’au sang je me griffais,
Sans parvenir à ces marques effacer.
Mon poing vint le carrelage du mur violemment frapper,
Sur celui-ci ma tête vint s’appuyer.
Dans l’eau rougeoiyante à genoux je me laissais tomber
Les larmes secouaient mes épaules, les sanglots
Se mêlaient à l’eau,
Mais elle est d’une pureté
Que jamais plus je ne pourrais porter.
Ça t’amuse n’est-ce pas ?
De laisser cette marque sur moi, en moi ?
Tu l’as fais exprès,
Pas vrai ?
Craindrais-tu que je t’oublie ?
Mais toi qui en l’espace de trois heures à ruiné toute ma vie,
Comment pourrais-je t’oublier ?
A jamais tu m’as ruinée …
J’ai mal …
Tellement mal …
Ça me brûle, ça me dévore, ça me ronge de l’intérieur,
Ça déchire mon cœur.
Cette soirée avait si bien commencée.
Pourquoi es-tu venu la gâcher ?
Tu aurais pu devant un film X aller te branler
Mais tu as choisis une autre possibilité.
La pire qu’il soit
Pour moi.
J’ai honte. Honte de moi.
Honte de toi.
Tu me dégoûte …
Je me dégoûte …
Pourquoi est-ce que je m’en veux plus à moi,
Que je te tiens rancœur à toi ?
J’ai mal aujourd’hui encore,
Une douleur
Qui de l’intérieur
Ronge mon corps
Et mon cœur.
Une douleur dont je ne peux me défaire,
Une douleur qui m’enferre.
Je voudrais pouvoir oublier
Juste un instant, ignorer ce qu’il s’est passé.
Ton regard froid et fiévreux, oublier
Ton sourire malsain, ignorer
Ton visage triomphant, négliger.
Oublier ces paroles que tu m’as murmuré,
Avant de seule me laisser,
Nue et de sanglots secouée,
Sur le carrelage glacé,
De cette même douche où je me suis mutilée.
Je ne me reconnais pas,
J’ai tellement mal, au fond de moi …
Je ne me reconnais plus,
Je ne suis qu’une ombre de plus,
Dans un monde qu’à chaque instant je voudrais quitter.
Je sais que tu pourrais recommencer.
Comprendre tu me l’as fais :
Je dois jouer la comédie,
Je ne dois pas parler.
La vie de mon amie,
Entre tes mains reste figée,
Glacée.
Sur sa tête telle une épée de Damoclès,
Ta menace ne la délaisse.
Ta menace ne me laisse.
Je voudrais oublier …
Je voudrais que cette soirée n’ait jamais existée …
Mais on peut tout cacher derrière un sourire,
des larmes qui coulent à n'en plus finir.
On peut tout cacher derrière un sourire ...
Tout ... même l'envie de mourir.

Wow...
C'est beau...mais vraiment triste...
Mon coeur se sert...c'est étrange ^^""""
Si c'est vrai...désolé >.<

De toute façon, personne n'a a être désolé pour ça.
Personne à part lui.
Mais je suis sûre qu'il ne reconnaîtrait pas le mal qu'il m'a fait.

Et si vous trouvez vraiment que ce que j'écris est beau, je vous en remercie.

Oui tu es vraiment bonne
Je n'ai fait qu'un vrai poème dans ma vie pour l'école
Et personne ne le lira =D
Trop affreux XD
Si Toitoile de Sang mais un de ses poèmes...je meurs émerveillée 8D